Un passé celtique et un patronyme unique : les surprises révélées par mon test ADN iGENEA
Nom de famille Fräntz
Mon expérience avec le kit d'analyse ADN de iGENEA a été remplie de surprises. J'ai découvert que mes ancêtres étaient originaires du Luxembourg et non de l'Allemagne ou de l'Autriche comme je l'avais toujours supposé. Mon nom de famille, Fräntz, s'est également révélé être rare et unique, une découverte qui a complètement changé ma compréhension de mon histoire familiale.
Depuis le jour où j'ai reçu le kit d'analyse ADN de iGENEA, je n'ai pas pu m'empêcher de me demander ce qu'il révélerait à propos de moi. Les résultats ont dépassé mes attentes, apportant plusieurs surprises qui ont transformé ma compréhension de mon arbre généalogique.
La première surprise a été de découvrir le voyage migratoire de mes ancêtres. Mes résultats indiquent que mes ancêtres étaient des Celtes, qui ont traversé l'Europe et se sont finalement installés au Luxembourg. J'ai toujours assumé que mon nom de famille, Fräntz, était allemand ou autrichien, mais l'ADN ne ment pas - il prouve que mes ancêtres étaient des Celtes vivant au Luxembourg. Mon histoire familiale comprend donc une longue lignée de Celtes qui ont su s'adapter et survivre à travers de nombreux changements historiques et géographiques.
La deuxième surprise, qui a été un véritable renversement, a été relative à la structure même de mon nom de famille. J'ai toujours supposé que "Fräntz" était un nom de famille courant. Cependant, les résultats de iGENEA ont révélé que mon nom de famille est unique et rare. L'analyse montre que c'est probablement dû à une erreur de transcription ou à une modification intentionnelle du nom de famille par mes ancêtres pour une raison ou une autre.
Mon test ADN iGENEA a chamboulé ma réalité et celle de ma famille. Qui aurait pu imaginer que notre histoire familiale était si riche et complexe ? Cela a certainement été une expérience bouleversante, et je suis ravi d'avoir eu l'occasion d'en apprendre davantage sur mon passé et sur moi-même.
O. Fräntz